Izuruu
Ultimate Hope
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Localisation : Dans les Nuages~
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 |  Sujet: ~La Resurrezione Della Mafia~  Mer 16 Juil - 13:40 | |
| Ciaossu,
Voici ma fanfiction en espèrant qu'elle vous plaira, c'est en quelque sorte une suite de KhR!, j'essayerai de ne pas spoiler si vous suivez le manga ou la série. Le début de l'histoire se déroule dans un orphelinat, au nord de l'Italie (en Sicile plus précisement), où plusieurs enfants ou adolescents ont été enlevés pour des causes inconnues. Après l'arrivé d'un nouvel élève du nom de Dark Hibari dans la classe 4-1 - qui est une classe spéciale - l'ambiance dans l'orphelinat va changer du tout au tout. A cause de ceci ; certains esprits révolutionnaires vont se "réveiller".
La vérité leur sera bientôt dévoilée...
~La Mafia renaîtra bientôt de ses cendres~ - Classe 4-1:
Classe 4-1 :
/!\ Spoil sur la fanfiction.
Professeur principal ( aussi Professeur d'entraînement ) : -Monsieur Déo
Elève n° 01 : - ???
Elève n° 02 : - ???
Elève n° 03 : - ???
Elève n° 04 : - ???
Elève n° 05 : - ???
Elève n° 06 : - ???
Elève n° 07 : - Hibari Dark
Elève n° 08 : - Kitkat Jea
Elève n° 09 : - Kheyst Wave
Elève n° 10 : - Khiwy Kapo
Elève n° 11 : - Kozato Izuruu
Elève n° 12 : - Lays Tadashi
Elève n° 13 : - ???
Elève n° 14 : - ???
Elève n° 15 : - Ptitlu Draconnia
Elève n° 16 : - S Tsukyo
Elève n° 17 : - ???
Elève n° 18 : - Shocapik Clo'
Elève n° 19 : - ???
Elève n° 20 : - ???
Elève n° 21 : - Tuc Carcha
Légende :
??? : Personne dont l'identité n'a pas encore était révélée dans l'histoire.
Nom Prénom : Personne décédée.
Nom Prénom : Persone portée disparue.
- • Primo Capitolo :
Une petite fille brune se réveilla dans une chambre d'hôpital assez sinistre. Elle avait l'impression d'avoir fait un horrible cauchemar : Elle était dans sa chambre d'hôtel, le sol et les murs étaient tachés de sang et par terre se trouvaient les corps inertes de ses parents. L'instant d'après, elle sentit un choc violent à l'arrière de sa tête et elle reprit connaissance là. Soudainement, une personne en blouse blanche - un médecin surement - entra dans la pièce. La brune demanda à l'homme ce qu'elle faisait ici. Alors, le médecin lui raconta tout dans les moindres détails. Le visage de la fille se remplissait de terreur et ses yeux devenaient larmoyants.
CLAC !
Le bruit d'une portière qui claquait me réveillai brusquement - à un point que je suis tombée de mon lit -. J'accourus voir ce qu'il se passait dehors. Je regardais discrètement à travers le rideau transparent, il y avait une voiture et deux hommes à l'intérieur. L'un d'entre eux, sortit du véhicule et ouvrit le coffre de la voiture. Dedans se trouvait un jeune adolescent, il était couvert de bleus et du sang sortait de sa bouche. « Hiii ! Il a dû en baver celui-là ! » pensais-je. Perdue dans mes pensées, je n'avais pas vu que mon compagnon de chambre était levé lui aussi. Il posa sa main sur mon épaule :
« - Qu'est-ce que tu fais, Zuzu' ? me demandait-il tout en baillant. »
Surprise, je sursautai et je le regardai avec un air effrayé.
« - I-IDIOT ! Tu m'as fait peur !
- Chuuut ! Les mecs en costumes vont t'entendre, petite soeur ... ria t-il.
- Il y a quoi de drôle !? »
Lui, c'est Tadashi Lays, on se considère comme frère et soeur. C'est parce que on se connait depuis notre arrivée ici.
« - Hum ? Tu as entendu ça, Jean ?
- Non, quoi, Marc ? »
( Mdr, ça fait Jean-Marc xD *sors* )
« - Hii ! »
Je me cachai vite sous ma couette, effrayée. Tadashi se moqua de moi, cette situation plutôt dangereuse l'amusait. Une fois que les hommes en costards partirent, on se rendormit sans se préoccuper de ce qu'on avait vu. A vrai dire, on voyait ce genre de truc assez souvent ... Des enfants ou des adolescents venaient dans cet orphelinat. Les nouveaux nous demandèrent à chaque fois ce qu'on faisait ici et dans quel but. Nous n’étions pas plu avancés qu'eux ...
-Plus Tard-
Nous étions tous en salle de classe, le professeur disait qu'on allait avoir un nouvel élève. Immédiatement, je pensais à ce garçon que j'avais aperçut plutôt dans la matinée. Un adolescent aux cheveux noirs entra dans la pièce. Effectivement, c'était bien lui, il y avait des pansements sur le visage et son regard était vide. Ce me rendais triste de le voir comme ainsi. L'enseignant lui montra sa place du doigt, c'était à quelques places de moi, à côté de la fenêtre. Il s'y rendait tout en regardant le sol, sans même dire un mot. Tout le monde le regardait étrangement. Ils auraient pitié de lui ? Qui sait ? Au fond, eux tous, étaient comme ça à leurs arrivées, même moi. Il n'y avait un qui n'était pas "triste", c'était Tadashi. Ce garçon blond et idiot parfois, était fort émotionnellement. En fait, il ne s'appuyait jamais sur son sort, il retenait ses larmes et il savait me consoler si j'étais attristée. C'est pour ça que je le considère comme mon frère même si en vrai je suis fille unique ...
Un mois passa sans que j’approchais le nouveau. J'étais plutôt timide et je n’aimais pas approcher les gens comme ça. Mais un jour ...
« - KOZATO IZURUU ! »
C'est ce que hurlait un surveillant pendant que je traversais le couloir A. Je me retourna brusquement, surprise. Il m'accusa d'avoir séché le cours d'entraînement d'hier. Je lui expliqua tout :
« - Euh ... Monsieur ... C'est que, je m'étais foulée la cheville juste avant le cours. Comme ce n'était que ça ... je ne suis pas allée à l'infirmerie ...
- Penses-tu que je vais croire ces conneries, Kozato !?
- Monsieur ! Izuruu s'est vraiment foulée la cheville, regardez, elle est obligée d'avoir une canne pour marcher ! Insistait mon frère.
- 'Dashi ...
- Lays, tu n'étais pas là non plus alors ne la ramène pas ! Je vais convoquer le comité de discipline et ils décideront de vôtre sort ! »
Mon visage et celui de Tadashi étaient remplit de peur. Le comité !? Cette histoire va loin pour si peu ... Que dois-je faire !? Merde ... !
Le pion nous prit par le bras et nous conduisait vers le bureau du comité de discipline. Cependant, en chemin, le nouveau aux cheveux noirs arriva en courant vers nous. Il mit au surveillant un coup de poing qui l'endormit pour un bon moment.
« - Yo ! Ca va, vous deux ? demanda t-il
- Euh ... oui ... répondis-je, hésitante. T'es le mec qui est arrivé le mois dernier, non ?
- Yep ! Et je m'appelle Dark Hibari ! Ria t-il tout en me tendu sa main pour que je lui la sers. »
Je le regardai, surprise. Je n'avais pas le temps de faire un seul geste que le blond me poussa.
« - Eh ! Criais-je
- Hey ! Moi c'est Tadashi Lays et cette idiote, c'est ma petite soeur : Izuruu !
- Que ... Comment ça "idiote" !? »
Les deux garçons riaient. Tss ... ! Franchement !
« Vous êtes médecin, Monsieur ? Que faîtes-vous ici ? demanda l’enfant aux cheveux bruns et aux yeux orangés.
- Oui, je suis docteur. Je suis ici pour voir si vous sentez mieux. Est-ce le cas ?
- Oui, j’ai l’impression d’avoir dormis pendant un long moment, c’est le cas ?
- Vous avez été dans le coma pendant une semaine, vous avez reçu un violent coup à la tête du à un objet contendant.
- Hein !? »
« Alors, ce n’était pas un rêve ? Mes parents … !? Non, non, c’est impossible … Ils ne peuvent pas être mort, hein ? » pensa l'enfant effrayée. Elle avait des difficultés à respirer et son cœur battait plus vite que la norme.
« Je suis désolé, s’excusa le docteur. »
Elle le fixa droit dans les yeux, ils étaient larmoyants. Elle se retenait de pleurer et elle serrait fort son poing.
« On a rien pu faire pour eux, encore désolé, petite. »
« J’avais l’impression que cette dernière phrase me fut dîtes au ralentit. » Ces larmes coulaient tout au long de ses joues, sa tête commençait petit à petit à tomber en arrière et ses yeux se fermaient …
- • Secondo Capitolo :
Le soleil se couchait, le ciel, lui, devenait orangé, les nuages sombres de la nuit se rassemblaient. Un enfant blond à lunettes et aux yeux bleus émerveillés courrait en direction de l'entrée d'une villa. C'était surement sa maison à lui et ses parents. Il tenait sur son épaule un sac à dos à moitié ouvert, il y avait dedans divers choses comme des ours en peluches pour filles. Il remarqua que la porte était entre-ouverte, c'était étrange. Il observa autour de lui, il vit que un ballon était sur la pelouse. Ce n'était pas tout, une chaussure rose de petite taille y était aussi. La terreur crispait son visage. " Que s'était-il passé !? " Il poussa la porte d'un coup avec sa main gauche et il comtempla le " spectacle " ...
Je n'écoutais pas le cours, je préférais regarder la pluie tomber, ça me détendais en fait. Je pensais à pleins de choses, comme à mon passé. Je songeais à ma famille qui n'était plus avec moi, à ce genre de chose. Je regardais dans la direction de ma soeur de coeur, Izuruu. Elle était quasiment endormis sur sa table. Ah là là, si on continue comme ça, nous ne passerons jamais en dernière année. Franchement, tel frère, tel soeur. Enfin, si elle l'était réelement.
DRIIIIIING ~ ! retentit la sonnerie.
Le vieux professeur nous donna les devoirs à faire pour le lendemain. Je pris mon agenda et les notait - même si je ne les ferrais pas à coup sûr -. L'enseignant se leva et partit avec ses affaires. La brune s'approcha de moi profitant l'absence de professeur dans la classe.
" Tu rêvasses encore ? remarqua t-elle.
- Hum ? fis-je. Oui, j'ai pas beaucoup dormis à cause de tes ronflements.
- Qu-QUOI !? s'éverva t-elle. "
Ses joues étaient devenues rouges tomate. Elle se retourna pour voir si personne n'avait entendu le reproche que je lui avait fait. Elle me prit par le col de ma chemise avec un air très très énervé. En fait, je pense qu'à ce moment là, elle était plus gênée que énervée. C'était Izuruu tout crachée mais elle avait un bon fond. Le professeur de Mathématique entrait dans la salle de classe et il nous ordonna de sortit une feuille et qu'il avait contôle surprise. " Merdeuh ! " pensais-je. Je n'avais pas révisé...
Pendant le contrôle, Dark, le mec aux cheveux noirs s'amusa à me lancer des boulettes de papier. Je me retourna et je lui demandai - en chuchotant - ce qu'il me voulait.
" Tu sais pas la réponse à la question 3 ?? me demanda t-il tout bas.
- Que ... Non, et toi, tu ne sais pas la réponse au problème un ?
- LAYS ! HIBARI ! Je n'autorise pas les bavardages pendant un contrôle ! Prenez vos affaires, vous allez à la CPE et vous vous expliquerez ! "
Je ne discutais pas les ordres et j'obéissais. Dark fit de même, on aurait même dit qu'il s'empêchait de rire. Cet enfoiré ...! Nous sortions tout les deux de classe, ma soeur ria de moi derrière la manche de son uniforme beige. Je soupira. Dark partit vers un couloir qui ne se rendait pas vers le bureau de la CPE.
" Hé ! Où tu vas ? demandais-je en posant sa main sur son épaule.
- Dans ma chambre.
- Mais ... si tu te fais capter ...
- Je m'en fiche. Tu viens ? Il y a un truc interressant que j'ai vu l'autre jour. "
J'hésitais mais j'étais curieux. " Qu'est-ce qu'il y a là-bas ? " me demandais-je. A partir de ce moment là, je m'en fichais bien de ce qu'il pouvait m'arriver. Je pris mon courage à deux mains et suivis mon camarade.
Arrivés dans sa chambre -qui était un vrai bordel, jamais vu ça-, il bougea un meuble et derrière se trouvait un conduit d'aération. J'étais surpris. " C'était cela qu'il voulait me montrer !? " Il prit un tournevis et décrocha les vis autour du conduit puis enleva la grille. Il s'abaissa pour rentrer dedans et me demanda de venir aussi.
" Hein !? M-Mais ... c'est trop étroit ! Comment tu peux rentrer là dedans !? fis-je appeuré.
- Arrête de faire tes mannière, omg. En plus, on pourrait apprendre pleins de choses intéressante ... Tu viens ?
- Moui, j'arrive ... sourpirais-je. "
Je rentrais dans le conduit qui nous emmenaient vers un endroit que je n'avais encore jamais vu ici. C'était une réserve de nourriture, il y avait des conserves de toutes sortes rangés soignement et des paquets de lait et d'eau. Dark me tendit la main pour que je descende, je l'attrapa et il se fit un plaisir de me tirer fort et de me laisser tomber ...
" Sal-Saleté ! "
Il ria mais il fut interrompu par une personne. Je ne vis pas bien son visage, il était accompagné d'une fille aux cheveux assez long.
" Qui êtes-vous ? demandais-je tout en me relevant.
- Chuut ... Je t'expliquerai les détails plus tard, Tadashi Lays. fit le garçon aux cheveux châtain foncés. "
" Il connait mon nom ? Je le connais ? " pensais-je. Il faisait trop sombre, je ne pouvais pas voi leurs visages. Je remarqua qu'il avait un trou dans le planché pas loin. Les deux inconnus se rapprochèrent du trou avec Dark et ils tendirent l'oreille, je fis de même.
Il se passait quelque chose en bas, il y avait beaucoup d'adultes en costard réunis autour d'une grande table, ils discutaient.
" Alors, le "fantôme" n'a rien remarqué, escouade quattro ? Commença un homme au bout de table.
- Non, mais j'ai bien peur qu'il se doute de quelque chose après tout ça va faire presqu'une dizaine d'années qu'on le dupe. répondit un homme de l'escouade en question.
- Ce n'est pas normal. rajouta un homme au crâne rasé. Ce pourrait-il qu'il ait une taupe parmis nous ? "
Sa dernière phrase choquait tout le monde. " Ne raconte pas de conneries ! C'est impossible !" Le chef frappa son poing sur la table afin de calmer ses hommes énervés. Je ne comprenais pas très bien ce qu'il se passait mais il y avait rapport avec nous, j'en étais presque sûr. Je regardai dans la direction de Dark pour demander ce qu'il se passait. Sans réponse. Alors je continuais d'écouter la conversation.
" Si il n'y a aucune taupe parmis nous alors il se pourrait qu'il en ait une parmis les professeurs et surveillants.
- Comment !? s'exclamèrent tous ensemble les personnes en costard.
- Eh ben, ceci est tout à fait probable. Alors, ça serait une toute nouvelle recrue.
- Nous avons pas engagés une nouvelle recrue depuis un mois. Si mes souvenirs son bons alors, c'est le nouveau professeur principal de la 4-1 ... "
Mon visage se crispa de stupeur, celui de Dark aussi mais les visages des autres restaient perplexes.
" Tss ... soupira le directeur qui était à l'opposé du chef des escouades. Nous vérifions cette hypothèse plus tard. Ce qui me gène le plus c'est que si il est bien la taupe, il pourrait s'en prendre aux élèves. Après tout la 4-1 est la plus prometteuse dans les combats de mafiosis ... "
Je tombai littéralement sur les fesses après avoir entendu ça. C'était quoi ces "combats de mafiosis" !? C'était les entraînement qu'on pratiquait avec Monsieur Déo !? Je comprenais plus rien, j'étais perdu. Il y avait trop de questions que je me posais. Je n'étais pas le seul à me poser des questions. Dark et les autres étaient tout aussi choqués que moi.
" Occupons-nous du cas du professeur principal des 4-1, Monsieur Déo ! ordonna le vieux directeur. "
Cette phrase me faisait penser à pleins de choses traumatisante que je pensais avoir oublié. " Elena " était le seul "mot" qui me venait à l'esprit.
Plutôt dans la journée, les deux frères et soeurs s'amusaient avec une balle quand soudain une voiture de luxe s'arrêta près des enfants.
" Monsieur, dit le vieil homme qui conduisait le véhicule, montez, je vous pris, il est l'heure.
- Oui ! J'arrive ! s'exclama le petit blond. A plus, Elena ! Dit à Maman et à Papa que je reviendrai avant ce soir !
- Oui, Tadashi ! A tout à l'heure ! souria t-elle en saluant son frère. "
Le soleil se coucha, le ciel, lui, devenait orangé, les nuages sombres de la nuit se rassemblaient. La voiture noire de tout à l'heure se gara devant l'allé de la demeure des Lays, l'enfant aux cheveux dorés et aux yeux bleus sortit du véhicule en courant pressé de rejoindre sa famille qui devait surement l'attendre. La porte d'entrée était entre-ouvert, ce quii préoccupa Tadashi. Il si mit à regarder autour de lui et remarqua une chaussure et la balle de sa soeur sur la pelouse. Il avait un mauvais présentiment, un très mauvais présentiment ! Il poussa d'un coup la porte et découvrit le désastre que c'était passé dans la villa. Tout les meubles étaient par terre, il y avait du sang partout par terre. Il pu distinguer la corps sans vie de sa petite soeur sous les décombres. Il ne tenu pas le choque et tomba à la renverse lâchant son sac qui contenait des câdeaux pour sa petite famille.
- • Terzo Capitolo :
C'était l'aube, le ciel était caché par de grand nuages grisâtre. Une adolescente aux cheveux noirs attachés en queue de cheval qui semblait plutôt solitaire se réveilla en compagnie de son frère - qui était plus jeune qu'elle - dans une immense forêt. Ils avaient passé la nuit contre un vieux chêne à bout de souffle. Les deux avaient courut jusqu'à que leurs jambes tombent, comme si leurs vies en dépendaient. L'aînée était couvert d'échymoses et elle saignait de la jambe du à une coupure mais le cadet, lui, ne semblait pas être blessé. Le garçon était effrayé mais sa soeur, elle, restait calme malgré la situation qui semblait être assez dangereuse. Soudainement, des hommes habilés en civile tout à fait normales apparurent et les menacèrent avec des katanas.
Cinq semaines avant la mission d'espionage ...
Je me réveillai dans un endroit qui m'était inconnu, c'était une pièce très éclairée avec des machines étranges. " Une chambre d'hôpital ? " pensais-je. Je me sentais bien, peut être c'était l'effet de médicaments. J'avais des pansements partout sur les mains et j'en remarqua un sur mon nez. " Que s'est-il passé déjà ? Je me rappelle plus de rien ... Arg ! " Une femme à lunettes habillée en blouse entra et s'approcha de moi. Je n'avais pas la force de parler. " Mince moi qui voulais lui demander ce que je faisais ici ... ! "
" Ca va ? me demanda t-elle.
- Hn ... grognais-je.
- Ah, tu ne peux pas parler c'est vrai. Tu as eu la machoire fracassée et c'est préférable que tu ne parles pas pour l'instant.
- Hn ...
- Des personnes t'ont tabassé et ils t'ont laissé pour-mort et ...
- !!
- Et, il y avait une autre personne avec toi, une jeune fille qui te ressemblait vachement. rajouta la femme en machant son chewig-gum. "
" Une fille !? Hum ... Emilie ? Oui, ma soeur ! " pensais-je heureux. J'étais soulagé, elle devrait être hospitalisée dans une salle à part. J'avais cette impression d'avoir oublié quelque chose d'important mais je ne fis pas attention.
" Elle était déjà ... enfin tu vois ... reprit-elle ...
- Hnn ? essayais-je lamentablement de parler.
- Elle a succombé à ses blessures ... Nous avons rien pu faire, je suis VRAIMENT désolée !! s'excusa t-elle en s'agenouillant devant moi. "
J'avais l'impression que mon coeur s'était arrêté. Ce fut un choque trop grand pour moi. Je me souvenu des moments passé avec ma soeur. Elle, qui me protégeait même si j'étais un vrai lâche. Je ne méritais pas d'être sauvé ... Oui je me souviens mainenant. Elle s'est sacrifiée pour moi, pour que je survie. " Je suis ... pitoyable ... Tu es vraiment nul Dark ... !! " Je me lamentais sur mon triste sort.
Après avoir presque totalement guéris de mes blessures, les hommes d'un petit orphelinat vinrent me chercher. Mes parents étaient mort et ma soeur était partit les rejoindre. J'étais seul. Rien que de penser à la solitude, le désespoir m'envahissa, pas seulement le désespoir, la rage, la colère aussi. Pris d'une folie, je tenta en vain de frapper ces personnes, en vain. L'un me cogna au visage, ce qui me fit saigner de la bouche et un beau bleu sur le visage, l'autre m'imibolisa avec une paire de menottes. Je gigotais dans tout les sens pour pouvoir me libèrer de leurs emprises mais sans succès. Un homme plutôt costaud me prit par la col de ma chemisen m'emmena dehors et me jetta dans le coffre d'une voiture noire puis ferma ledit coffre.
C'est ainsi que je fut envoyé à l'Orphelinat Fiamma. Tout ce que je savais, c'était que c'est orphelinat particulier. Le directeur réussisait des enfants et des adolescents pour des raisons inconnues, en tout cas, il ne choisissait pas au hasard. " Est-ce lui qu'il fait toutes ces choses horrible ? Certainement. " songeais-je.
Le lendemain matin de la mission d'espionnage ...
Je me réveillai doucement à cause des rayons du soleil qui se posaient sur mon visage. Je regardai sur mon réveil l'heure, il indiquait : 5:47. Je soupirai, il était encore tôt mais je n'avais plus trop sommeil. Je repensais à la journée d'hier, ce qu'il m'avait plus intrigué c'était l'heure histoire de "taupe" et de "fantôme", c'était pas très nette. Je me levai et partis me préparer pour les cours, j'enfillai la veste noire de mon uniforme scolaire puis partis de ma chambre à 6H56 - j'étais pire qu'une fille -. J'atteignis dans la cantine et me posa une chaise au fond de la salle. " Tss, ils ne sont pas encore là ... " dis-je en machant un morceau de pain. A peine que j'avais fini ma phrase, les personnes personnes d'hier arrivèrent -avec 10minutes de retard-.
" Ah bah enfin ! Commençais-je. Vous avez mis 4 ans à arriver là ! Jea, tu faisais caca ou quoi!?
- Rah mais tais-toi, Dark ! répondit la fille gênée par les propos de son "ami".
- Vous ne changerez jamais vous deux ... soupirait la personne qui était avec Jea.
- Mais Tsukyo ... C'est Dark !
- Bref, tu as invité Tadashi pour cette petite réunion ?
- Ouais, le connaissant il va ramener sa soeur. Si il y a plus de monde c'est mieux, non ?
- M'ouais. firent les deux en même temps. "
Ainsi, nous commencèrent tout de même notre discussion sans les deux frères et soeurs. Nous parlions de ce que nous avons entendu la veille, on se posait plusieurs questions et émétions des hypothèses sur notre professeur principal et sur des personnes parmis le personnel de l'école. Soudainement, le blond et sa soeur arrivèrent vers nous et s'installèrent à notre table. Tadashi était souriant mais au contraire Izuruu resta perplexe et nous dévisagea du regard.
" Tada', tu vas enfin me dire où tu étais après les cours ? J'étais inquiète moi ! commença Izu'.
- Euh ... je peux lui dire ? demanda le blond en me regardant moi et les autres.
- Oui. répondit Tsukyo.
- J'étais avec eux trois, Dark que tu connais déjà, Tsukyo S et Jea Kitkat de notre classe. On espionnait le directeur en réunion avec des personnes en costard et on appris plein de tru- "
Il ne pouvait plus finir son expliquation à cause de Izuruu qui lui avait coupé la parole et elle se leva brusquement :
" Que ... Mais tu es fou ! Pas que toi, vous trois aussi ! Pourquoi vous avez fait une chose aussi dangereuse ! Vous aurez pu vous faire capturer et emmené dans les cachots du Sous-Sol !
- Calme-toi ! ordonna Tsukyo. On ne fait pas fait capter c'est ce qui compte et c'est pas la première fois que je fais ça alors je sais ce que je fais ! "
La brune se tut, stupéfaite puis se rasseya en fronçant des sourcils et laissa passer un petit " Tch ! ". Le garçon aux cheveux châtain soupira et demanda à Lays de continuer.
" Alors, re-commença t-il, nous avons des choses, c'est plutôt vague mais, ils parlaient d'un espion parmis le personnel d'ici et d'un fantôme, je n'ai pas très bien compris. Ah oui ! Ils ont parlé de Monsieur Déo, il se pourrait qu'il soit cet espion.
- Pourquoi il y aurait un espion ? demanda la fille perpexle.
- Ah ... euh ... C'est par rapport au fantôme ... Arg ! J'ai rien compris ... répondit-il déçu.
- Je ne sais pas non plus mais il se pourrait que l'orphelinat doit rester secret et que si ce "fantôme" est au courant qu'il existe, il le détruirait, probablement.
- Comme je le disait avant qu'ils viennent : " Il n'a que le détruire ! Je serai heureux qu'il tue tout ces fumiers ! " Après tout ce qu'ils ont fait, c'est normal qu'ils doivent le payer, non ? "
Et un blanc alourdissa l'atmosphère, Lays évita mon regard de même pour sa petite soeur, seuls Tsu' et Jea restèrent sereins.
" Bref, soupira Jea pour continuer la conversation, je pense qu'on devrait essayer de pièger Monsieur Déo !
- Comment !? firent nous tous en même temps.
- Je ne sais pas pour l'instant mais on devrait y réflèchir. "
Driiiiiiiiing ~ ! sonna la douce sonnerit de 7h du matin.
Alors, à la vue des surveillants qui arrivèrent nous terminèrent notre discussion sur cette note.
La journée se passa normalement, nous cinq réflichissaient à comment pièger notre professeur pour qu'il parle en sachant que nous avons cours avec lui demain en fin de journée.
Dans les couloirs pour aller jusqu'à ma chambre, je croisai une jeune fille aux longs cheveux rouges et aux yeux bleus océan, elle portait une caisse qui avait l'air assez lourd. Elle me disait quelque chose, je le connaissais mais je me rappellais plus de son nom. Surement perdue dans ses pensées, elle me persecuta et nous tombèrent tout les deux au sol. " Ayeuh ! " Cria t-elle sur le coup. Sa caisse s'était ouverte, dedans se trouvait plein de nourriture. " Que ... Qu'est-ce ... ? " fis-je abasourdit. Elle rammasa la nourriture qui était tombée et partit en courant sans même m'adresser un regard. Je l'observai toujours surpris parce qu'il venait de ce passer ...
C'était l'aube, le ciel était caché par de grand nuages grisâtre. Une jeune fille courrait avec son frère pour éviter de faire tuer par des -surement- des tueurs à gages qui les poursuivaient. L'aînée était grièvement blessée et avait des difficultées à courir, le cadet tenta d'aider sa soeur comme il pu mais sans changements ... Les tueurs les ratrapèrent plutôt rapidement.
" Emilie ! cria le frère. Vite ! Il nous rattrape !
- Arg ... Oui je sais, Dark. Je vais devoir encore me battre. "
Il ouvrit grand ses yeux qui étaient bleus-gris.
" Moi aussi !
- Non, tu me gênerai plus qu'autre chose.
- Mais ... !
- Ils sont là. "
Elle prit des cailloux, ça seul arme pour se défendre et s'avança devant ses deux hommes armés d'armes tranchantes. Le résultat était courut d'avance ...
L'adolescent aux cheveux noirs tenait dans ses bras sa grande soeur mourrante, il pleurait toutes les larmes de son corps. Ironiquement, il se mit à pleuvoir des cornes. Il pensa avec horreur aux souvenirs heureux qu'il avait passé avec sa mère et sa soeur ... Sa soeur était plus forte et elle avait confiance en elle tout son contraire , mais malgré ça il l'appréciait vraiment. Même si elle le surprotégeait tout le temps. Elle était morte en se sacrifiant pour qu'il vit ? Les deux hommes s'approchèrent dangereusement de Dark. Il baissa son regard vers Emilie, il la posa, essuya ses larmes et laissa sa rage s'emportait ...
- • Quarto Capitolo :
Un jeune enfant se trouvait dans un vieux entrepot sale et délabré, il avait sur ses épaules un manteau bien trop grand pour lui et il serrait dans sa main une vielle photo chiffonée. Sur cette dernière se trouvait deux personnes adultes, un homme et une femme. L'homme avait les cheveux bruns chocolat et des yeux de même couleur, il portait un costard noir classique, la femme avait de long cheveux blond et des yeux jaunes et elle était habillée d'une simple robe blanche. Il soupira quelque chose, serra la photo contre lui, l'abîmant encore plus, des larmes glissèrent sur son visage pour tomber sur le sol froid. Un vieil homme s'abaissa à sa hauteur et posa délicatement sa main dans les cheveux châtain du petit et essayant de le réconforter. Une fois que ses larmes cessèrent de tomber, le monsieur l'emmena dans la remorque avec d'autres enfants. Une petite fille interppela son attention, ses yeux étaient rose et ses cheveux châtains, elle avait dans ses bras un ours en peluche étrange : le côté à ma gauche était blanc et il avait l'air angélique, mais au contraire, l'autre côté était noir avec un regard machiavélque. Le garçon frissonna à la vue du nounours. Il fixa la fille, il avait un étrange sentiment en l'observant. Il ne s'avait pas vraiment le décrire ce "sentiment" mais ce n'était certainement rien de bon ...
C'était déjà le matin, je n'avais toujours pas de plan pour pièger le professeur. J'espèrais que Jea ou les autres avaient eu plus d'idées que moi. Je soupira, je regarda l'heure, mon réveil indiquait : 6H46. J'ouvris grand les yeux de surprise et me dépêchai d'enfiller mon uniforme . J'arrivai en cours avec 5 minutes de retard - la honte -, toute la classe me fixait pendant que l'enseignant m'engueulait - je n'écoutais pas à vrai dire-. Après ça, je mis à ma place tout en faisait semblant de prendre le cours, en vérité je me creusais la tête pour trouver un plan. J'observais autour de moi tout en y réfléchissant, Izuruu dormait à moitié sur sa table, Tadashi regardait par la fenêtre perdu dans ses pensées, Jea, elle, s'amusait à dessin sur la table. Je soupirai de plus belle. " Est-ce qu'ils pensent à un plan !? " J'avais la boule au ventre rien que de les voir si tranquille ...
A la fin du cours, je rejoingnis Jea, je lui demandai si elle était plus avancée que moi, elle me répondit que non. Troisième soupire de la journée et surement pas le dernier ! On devait savoir un peu plus sur cette histoire ... " Suis-je vraiment le seul à me soucier de ça ? Je veux vraiment savoir pourquoi je suis ici ... " songeais-je tout en marchant vers la cantine. Je remarquai que les deux frères et soeurs étaient là avec Dark. Izuruu nous souria et nous fit signe de les rejoindre. Jea et moi prirent un plateau avec un de la nourriture et s'installèrent avec eux.
" Beeerk ! Patates, épinards avec une cotelette !? fit Tada' écoeuré.
- Tu en fais une belle, toi, de patate ... soupira sa soeur en buvant son eau.
- Zuzu' ! T'es méchante ! se plaignit à nouveau le blond. "
La brune ria de son frère. Elle semblait heureuse mais j'avais cette impression que c'était faux. Oui, elle était triste tout au fond d'elle. Je ne savais pas d'écrire cet étrange sentiment. Ce n'était pas la première fois que je ressentais ça, c'était en quelque sorte un don que j'avais.
" Sinon, avez-vous une idée de plan ? commença timidement Jea. "
Nous répondirent tous par la négative sauf Izuruu qui leva la main gênée que tout les regards soient braqués sur elle.
" Euh ... je pense que pendant le cours, commença la brune qui avait les joues rouges, l'un d'entre nous devrait faire semblant qu"il soit blessé et qu'il en profite pour poser des questions pendant que tout les deux vont à l'infirmerie. Pas mal, non ?
- Oui, ça pourrait le faire ! s'écria Lays avec le sourire aux lèvres.
- Comment tu as eu cette idée ? demandai-je.
- Bah, en fait ... je me suis tordue la cheville, l'autre jour et c'était lui qui m'avait emmené à l'infirmerie. Vous vous souvenez ?
- Ah ouais ... Je m'étais fait des idées ce jour-là ... ajouta Dark les bras croisés.
- HEIIIN !? crièrent à l'unisson toute la table. "
Tout les quatrièmes nous regardèrent après avoir hurler de cette façon. Après un énorme blanc, je me décidai à parler de nouveau :
" Il faut désigner qui sera le blessé mais c'est dangereux qu'il soit seul, non ? Si, il pose des questions trop indiscrètes et si il est vraiment un ennemi, il pourra s'en prendre à lui ...
- Je pense que Izuruu devrait faire la blesser après s'être battue avec Dark. Comme ça, elle sera envoyée à l'infirmerie et Dark à la CPE. proposa Jea.
- Pourquoi c'est moi qui doit aller à la CPE ? pleura le désigné.
- T'es un mauvais élève ça passera mieux. ria Tadashi.
- Tu peux parler, Lays. ajouta Jea toute innocente. "
Ce n'était que le commencement ... Je n'étais pas conscient que je vivais des jours paissible à ce moment là comparés à ceux d'après ...
En fin d'après midi ...
Tout les élèves de la 4-1 étaient là en ligne, tous habillés avec leurs vêtement de sports. Leur professeur était devant eux et il expliquait le parcourt qu'il allait faire. C'était un parcourt d'entraîment comme il pourrait avoir à un entraînement millitaire. Escalader des murs de bois, passer sous des grilles faites de branches, il y avait même des mannequins avec des cibles marquaient dessus. Il prit une grande respiration et reprit la parole :
" C'est une course, tout est permis ! Faire tomber, frapper vos adversaires pour qu'ils ne soient pas premier à votre place ! Bien sûr, il y a des pièges placés un peu partout, attention où vous mettez les pieds ... " Il prit une caisse et la posa devant nous et prit un couteau qui était dans la boîte en carton. " Quand vous aurez fini la première partie du parcourt, vous devrez utiliser ces armes pour transpercer les mannequins ! Mais en aucun cas vous utiliserai ces armes pour blesser vos adversaires. Compris !?
- Oui ! s'écrièrent une bonne partie de la classe.
- Préparez-vous dans ce cas. ordonna t-il en partant plus loin. "
Tadashi, Dark, Izuruu, Jea et moi se regardaient avec l'air désespérés. Notre plan ne pouvait pas marcher. Nous rangions avec les autres à la case de départ, tous le pied droit en avant -ou certains le gauche- et attentions le signal pour partir. Ce fut une éternité pour moi, je poussa un grand soupir. Je risque d'être grièvement blessé, pas que moi d'ailleurs, Jea et les autres. Mon amie d'enfance m'observa avec cet air triste, elle s'inquiètait, je tentai de la rassurer avec un " Ca va aller ! ". Elle me souriait mais elle me mentait. C'était encore cette drôle intuition qui me disait ça. " J'ai vraiment un don ma parole ! " Monsieur Déo tira en l'air avec son pistolet, à ce moment là, tout le monde commençait à courir. La première épreuve qu'on devait traverser était un grand terrain recouvert de sable, ce n'était pas très pratique de courir sur ça. Il devait avoir surement des pièges en dessous, je restais sur mes gardes. Soudainement, un garçon de ma classe me poussa par terre pour passer devant.
" BIIP ! "
Je sursauta puis me roulai par terre pour aller plus loin. Là où j'étais tomber eu une petite explosion. Ma respiration s'accélérait brusquement, ça aurait pu me blesser ou même me tuer ! Jea me tendit sa main, son regard était sombre et elle serrait de toute ses forces son autre main de rage. Je l'attrapai en la remerciant puis je continuais la course sans rajouter un mot. " Il est dangereux de courir en ligne droite, je devrai plutôt courir dans toutes les directions en ayant un peu de chance. " pensais-je. Autour de moi, la plus part d'entres eux se poussaient et se faisaient des croches-pieds. Dans ces cas là, ils agissaient tels des égoïstes, franchement. Ils me dégoûtaient plus qu'autres choses, cette victoire allait rien rapporter en plus.
Une autre mine explosa, je me retournai, je ne pus voir qui l'avait déclenché avec la fumée grisâtre, je vis Jea qui était à côté, son regard était remplit de terreur. Quand la fumée se disipa, je vis avec horreur les corps de deux filles de notre classe, ceux de Izuruu Kozato et de Clo' Shocapik. Je n'avais aucune idée de ce qui s'était passé, Izuruu avait été touché par la bombe et Clo' avait dû être touché par un autre piège, elle avait des pics partout sur le corps. C'était horrible ...!
Un jeune enfant se trouvait dans un vieux entrepot sale et délabré, il avait sur ses épaules un manteau marron bien trop grand pour lui et il serrait dans sa main une vielle photo chiffonée. Sur celle-ci se trouvait deux personnes adultes, surement ces parents, il pleurait rien qu'en regardant l'image. " Maman ... " soupira t-il. Un grand-père posa sa main dans la touffe brune du petit et lui disait des mots pour arrêter les larmes de couler. Une fois qu'il avait réussit, l'homme le prit dans ses bras et le déposa dans la rémorque d'un camion. Dedans, se trouvait pleins d'enfants qui devaient avoir le même âge que le petit, une fille interpella le petit. Elle avait de court cheveux de couleur châtain et des yeux rose larmoyant, elle serrait dans ses bras un ours en peluche noir et blanc. Un côté devait réprésenter son côté gentil et l'uatre son côté démoniaque. Il frissonna à la vue de ce nounours et se replia sur lui même, il avait un étrange sentiment qui lui disait de ne pas s'approcher de cette fille mais un autre lui disait le contraire.
" Euh ... tu as peur de Monokuma ? demanda t-elle en regardant le garçon appeuré.
- Oui ... souffla t-il en évitant de la regarder. C-Comment tu t'appelles ?
- Jea ... et toi ?
- Tsu-Tsukyo ... répondit-il. "
Pendant tout le trajet jusqu'à l'orphelinat, ces deux là discutèrent de tout et de rien.
Ce n'était que le commencement ...
- • Quinto Capitolo :
Il faisait nuit, la neige tombait doucement sur le sol, la ville était illumisée de lumières de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, les citoyens de la ville marchaient en compagnie de leurs familles, leurs amis, certains assitaient au festival qui avait lieu. Des chariots décorés passaient avec eux des personnes déguisées qui saluaient en s'inclinant. Dans les ruelles sombres se trouvaient une jeune fille aux courts cheveux écarlates, elle était habilée d'un mince manteau d'été. Son visage était recouvert de petites tâches de la même couleur que ses cheveux, ses mains étaient ensanglantées, elle tenait fermement une dague ancienne qui était - elle aussi - couverte de sang ...
J'avais mal partout, c'était une douleur sans fin, c'était horrible à supporter... " Mais... Au fait, que s'est-il passé déjà ? " Aucun souvenirs me revenaient. La seule chose qui me venait à l'esprit, c'était cette froide nuit d'hiver, un passage de ma vie que j'aurai voulu oublier. " J'en paye le prix, on dirait ... " songeais-je. Soudainement, je me sentais bien, je n'avais plus du tout mal. Je tentais d'ouvrir les yeux, en vain, je ne pouvais que bouger les doigts de ma main gauche. Je sentis quelque chose se poser délicatement sur celle-ci, c'était chaud et agréable. Pitoyablement, j'essayais de voir qui était là, je ne pus qu'ouvrir mon oeil droit. L'endroit où je me trouvais était illuminé par la lumière du jour, il y avait quelques appareils à côté de mon lit. Je reconnaissais cet endroit, c'était une chambre spéciale de l'orphelinat, les blessés venaient ici se faire soigner par les infirmiers ou infirmières. Je n'arrivai pas à tourner ma tête pour voir la personne qui était à mes côtés malgré mes efforts.
" Tu devrais éviter de bouger, tu es grièvement blessée, tu sais. me conseilla une voix qui m'était familière. "
J'étais choquée, j'essayai de me souvenir de ce qu'il s'était passée encore et encore. Seulement certains passages me revenurent : une voix de fille qui criait mon nom après ça un bruit d'explosion eu. J'expirai profondemment, c'était très vague, des images horribles me revinrent : le sang qui dégoûlinait de partout, des sortes d'épines qui transpercaient mes jambes et mon ventre, une personne devant moi qui avait les pieds en sale états. Mon visage se crispa à la vue de ses images gores et je fermai mon seul oeil ouvert.
" Oh ? Par-Pardon, s'excusa la personne, je n'aurai pas dû te faire rappeller ça !
- Qu... Qui ... ?
- Hein ? Ah, c'est Izuruu Kozato. Moi aussi, j'ai été blessé pendant le parcours ... Mais rien de très grave ... Le seul truc, c'est que je dois me balader en fauteuil roulant pendant que mes pieds guérissent ...
- Que ... s'est-il ... passé ... exactement ? demandais-je avec difficulté.
- Euh ... Je m'en souviens pas très bien mais on m'a dit qu'on faisait la course avec toute la classe et que le parcourt était recouvert de pièges. D'après les gens de notre classe, tu avais marché sur une mine et par réflexe je t'ai poussé pour te sauver mais ... " Elle s'arrêta un instant et continua avec une voix tremblante : " Mais, un autre piège était à côté ... et puis voilà ... "
C'était vrai, tout me revenait à présent, tout était clair. Je soupirai et essayai de me reposer quand brusquement une grosse infirmière entra dans la pièce pour voir notre état. Elle nous ordonna ensuite de ne pas bouger de notre lit et de récupérer. Nous ne chipotions pas les ordres et on se reposa tranquilement.
Quelques jours plus tard, une infirmière vint dans notre chambre pour nous donner un colis de la part de nos camarades de classe. On resta perplexe, nous attendions un bon moment avant de l'ouvrir et de regarder ce qu'il avait à l'interieur. A notre plus grande surprise, dans la grande boîte en bois, il y avait un simple katana, une lance puis en dessous une lettre qui nous étaient adressés.
" Que ... Qu'est-ce que ça veut dire !? me demandais-je, choquée. Des armes mais ... il s'est passé quoi pendant qu'on était ici !?
- Attends, me répondit Izuruu, d'après la lettre ... " Elle lut le bout de papier un moment. Elle ouvrit grand ses yeux au fur et à mesure qu'elle la lisait. " Euh ... Apparemment, il s'est passé beaucoup de chose pendant qu'on était hospitalisée ici. Ils nous expliqueront tout quand on sera à leurs côtés. On doit prendre chacune une arme et se préparer à se battre ... Mais, il se passe quoi, merde ?!
- C'est mauvais en tout cas ... Je suppose qu'on doit faire ce qu'ils disent ... On est peut être en danger si ça se trouve ...
- Si on y va, on va l'être. Surtout qu'on est encore blessée ...
- Au fait, qui nous a envoyé de le colis ? "
La brune se dirigea vers la porte en fauteuil roulant en me disant qu'elle allait demander à la femme qui l'a déposé ici mais une personne ouvrit la porte au même moment -et Izu' se l'ai prit-. La personne qui avait brusquement ouvert la porte était un métisse aux cheveux noirs un peu frissés, c'était un camarade de notre classe. Il s'appellait si mes souvenirs sont bons : " Wave Kheyst ". C'était un garçon très intelligent et sportif, il était toujours en concurence avec Carcha Tuc mais il était gentil avec tout le monde et toujours de bonne humeur.
" Ayeuh ! Wave ... RAH ! Tu l'as fait exprès ! pleura la victime.
- Ah ? Izuruu, tu étais là ? ria le coupable.
- Tch ... J'te jure ... soupira t-elle.
- Euh ... C'est toi qui nous a donné le colis ? questionnais-je. "
Il hocha la tête de haut en bas, poussa un grand soupir et passa sa main dans ses cheveux, il reprit la parole :
" On devrait pas rester ici, je vous expliquerez tout en chemin. Je connais un chemin discrèt comme ça on se fera pas prendre. Préparez-vous vite. nous ordonna t-il. "
Je baissai légèrement la tête pour regarder mes mains. Je pensais à des tas de choses... Que va t-il arriver ? Ces souvenirs douloureux me revinrent en tête, tout ce sang, ces cris, ces pleurs et l'angoisse que je ressentais. Pourquoi devrais-je repasser par tout ça ? Pourquoi le sort s'acharne t-il sur moi, hein ? Une larme coula le long de ma joue droite. " Ah oui, c'est vrai ... "
[FLASHBACK]
" Je suis navrée, fis une voix calme et apaisante, à cause de ce piège, votre oeil gauche n'est plus utilisable. "
Mon visage se crispa, incapable de parler je hocha de la tête en guise de réponse. Une fois la personne partit, Izuruu ne savait pas quoi dire pour me consoler, elle resta là sans bouger à regarder le vide, surement perdue dans ses pensées. Je m'apitoyais une nouvelle fois sur mon sort et sanglota à nouveau.
" ... Ca va aller Clo' ... tentait ma camarade de chambre avec une voix hésitante. "
Sur le coup de l'émotion, je décidais de tout les raconter sur mon passé. Ca a duré pendant une heure au moins, elle écoutait tout simplement, sa tête s'inclignait il y a des moments, ses yeux semblaient remplis de pitié ...
[/FLASHBACK]
Une main se posa délicatement sur mon épaule en citant mon nom. Je levai la tête, c'était Izuruu qui me fixait avec un regard sérieux. Elle me disait que si je ne voulais pas me battre Wave et elle allaient me protéger et qu'il fallait pas que je m'en fasse. Les larmes continuèrent de couler, je me forçais de sourire malgré tout.
" Non ... Je ne veux pas être un fardeau pour vous ... Je vais aider ! annonçais-je en essuyant mes larmes puis en prenant le katana.
Les deux sourièrent, Izuruu prit la lance dans sa main et Wave demanda si on pouvait partir maintenant. On répondit toutes les eux en même temps : " Oui ! ".
Une jeune fille dormait à même le sol dans une sombre grange, elle avait quelques éraflures sur le visage et des blessures défensives sur les bras. Un chaton tigré ronronnait contre elle et tentait de la réveiller.
" Hum ... " Elle ouvrit doucement ses yeux qui étaient bleus océans. " Ah ... Miel c'est toi ... "
Elle se releva et enleva la poussière qui était sur ses vêtements déchirés. Elle prit un balais et un ramasse-poussière puis partit de la vieille grange pour aller dans le Manoir qui était à côté.
Plus tard dans la matinée ...
" Clo', appela une vieille dame aux cheveux gris attachés en chignon, ce café est dégoûtant comme d'habitude. Quand sauras-tu en faire, bon sang ? Je suis déjà assez généreuse en te laissant loger ici.
- T-Toutes mes excuses, Madame. s'excusa la fille aux cheveux courts. J-Je vous en re-fait tout de suite !
- Non, ordonna la vieille femme aigrid. Fait le petit-déjeuné pour les petits. "
Elle baissa la tête et exécuta l'ordre donner par la dame.
En fin de journée, Clo' se faisait -encore- réprimanader par sa maîtresse parce qu'elle avait était maladroite. Cette fois-ci, la vieille en eu marre, et comme la battre ne suffisait point, elle eu l'idée de s'attaquer à ce qu'elle aimait le plus : Miel. Quand la jeune fille comprit ce qu'elle voulut faire, Clo' prit son courage à deux mains et empêcha la dame. Une bagarre s'ensuivit, même si la femme était assez âgée, elle avait quand même de la force mais la rousse se défendait pas mal, elle aussi. Pendant leurs mêlées, la personne âgée prit un poignard qui datait du XIXème siècle et menaça Clo' avec. Son visage se crispa de terreur à la vue de la dague qui s'approchait, elle ferma les yeux puis arrêta l'avancée de la lame avec sa main. Du sang coulait sur le parquet de bois, la fille aux cheveux écarlate serra ses dents à cause de la douleur. Traversée par des tas d'émotions négatives : colère, haine, tristesse, peur ... Elle prit des mains de la femme qui avait eu la pitié de la prendre sous son toit -même si c'était pour en faire une sorte d'esclave- et une suite d'actions s'ensuivirent ...
- • Sesto Capitolo:
La nuit commençait à tomber, le ciel devenait de plus en plus sombre et le froid se faisait ressentir. Le vent soufflait les branches des arbres de la forêt, deux enfants se trouvaient assis sur le bord la falaise un peu plus loin. Celui avec la peau métisse regardait le vide avec un air horrifié, son compagnon, lui, évitait d'observer la scène d'en bas, il tenait fermement la bras de son ami pour lui dire de partir. Il ne voulait pas, non, il tendait sa main dans le vide comme si il voulait rattrapper quelque chose...-Quelques jours avant l'arrivée de Wave au près de Izuruu et de Clo'.- J'arrivais à la deuxième étape de cette course mortelle, j'avais réussi à survivre jusque là mais je me demandai pour combien de temps ? C'était ce que je craignais. << Allez, Wave... tu peux le faire... Encore un peu... >> fis-je, essouflé. Je pris un grand arc, plusieurs flèches qui était dans une caisse placée sur le côté et les rangèrent dans mes poches de ma veste et de mon pantalon puis continuai mon parcours, l'arc à la main. A l'aide de mes flèches, je transperçai les mannequins que je trouvai sur mon chemin. J'allais être bientôt en manque de flèches. Je serrai ma machoire et mon arc, quand soudainement, j'entendis une brindille se casser derrière moi. Je me retournai doucement, craintif, j'aperçus petit à petit des pieds s'approchaient dangereuse de moi. Par réflexe, je m'écartai de sa trajectoire, cependant, la personne dont je ne pouvais pas voir le visage à cause de sa capuche me poursuivait armée d'un cuter jaune. Cette arme n'était pas dans une des caisses, c'était étrange. Esquivant, les coups qu'on essayait de m'infliger, je lui demandais qui était-elle. Sans réponse. Cette silhouette féminine me disait fort quelque chose, je connais cette personne. J'en étais persuadé. Alors que j'étais perdu dans mes pensées, elle en profita pour me couper une partie de la joue. Le sang coulait sur tout le long de ma joue jusqu'à tomber en petites goutes sur le sol. Elle souriait d'un air sadique. C'était à cet instant là que je pus voir qui était mon agresseur. Mon visage se décomposa de stupeur. << Tu ... Tu es ... bégayais-je... >> Elle souleva sa capuche. C'était belle et bien Draconnia Ptitlut. Une gentille fille de ma classe aux cheveux bruns mi-long et aux yeux orangés. Elle était diffèrente, elle avait des marques sous son oeil gauche. Je remarquai aussi, qu'elle avait trois blessures en forme de cercle sur son bras. C'était étrange. << Elle serait tombée dans un piège ? >> songeais-je. Draconnia fit un bond vers moi en me menançant avec sa lame. J'attrapai son bras juste à temps et la repoussai par terre profitant pour m'enfuir en courant. J'avais fini par me retrouver dans une forêt en dehors du parcours. Je me reposai contre le tronc d'un arbre, je me posai pleins de questions sur les agissements de Draconnia. Je m'inquiètais pour les autres si ils croisaient par malchance son chemin. Il fallait que j'y retourne au plus vite ! Au même moment, quelque chose se déposa sur mon épaule. Je sursautai de surprise et craingant que c'était mon agresseur qui était à mes côtés. Heureusement, ce n'était pas le cas, en vériét c'était Carcha Tuc, mon plus grand rival. Il était essouflé et il avait l'air apreuré. Surpris, je lui demandai ce qu'il se passait. Il s'assaya à côté de moi et me raconta tout. Elle avait aussi agressé Carcha sans aucune raison, apparement. Nous décidions de l'arrêter avant qu'elle ne tue quelqu'un, alors nous élaborions un plan... Elle était là, cachée sur le parcours, derrière un mur d'escalade. Moi, j'étais installé sur une branche d'un arbre. Je la voyais de dos, même si c'était lâche, je comptais bien lui tirait une de mes dernières flèches sur elle. J'ébranlai mon arc et je tirai vers sa direction. La flèche partit mais la rata de peu. Ma victime se retourna vers moi, furieuse, elle se releva puis se dirigea vers l'arbre où j'étais. Le plan avait échoué, je devais fuir et l'emmena vers l'endroit où se trouvait Carcha. J'executai mon plan B, et descendu de l'arbre en sautant - et me faisait mal aux pieds par la même occasion  -. Elle continua de me poursuivre, d'ailleurs, elle était plutôt rapide pour une fille... En pleine course, mon pied droit se prit un racine sortant de la terre, je tribuchai violemment sur le sol dur. J'essayai de me relever au plus vite mais Draconnia m'avait déjà rattrapé, elle me bondis dessus et me blessa la joue avec sa lame. Je poussai un cri de douleur sur le coup. Elle tenta de me blesser de nouveau, mais cette fois-ci je pus anticiper son attaque et l'arrêtai juste à temps. Pendant la baguarre, j'étais toujours intrigué par son oeil gauche entouré de marque ressemblant fort à des cicatrices. Alors, qu'elle allait me mettre un coup sur mon visage, je l'esquivai de justesse et pris une de mes flèches et je l'enfonçai dans son bras ce qui lui fit saigner, et profitant qu'elle était distraite pour m'échapper de son emprise. Je m'éloignai un peu plus de 10 mètres de mon agresseuse, je me retournai vers elle, je l'observai se relever et enlever la flèche qui était implantée en elle. Je tendis la corde de mon arc et me préparai à tirer. C'était ma toute dernière flèche, je n'avais pas le droit à l'erreur. << Je ne dois pas la tuer mais l'arrêter ... >> fis-je tout bas en tremblant comme une feuille à cause du stress. Des images me revinrent en tête, des moments horrible de mon enfance. Tout ces traumatismes, ce sang, ces larmes, ces cris, je voulais absolument les sortir de ma mémoire. Je fermai les yeux, pris une grande respiration. << C'est cette flèche qui décidera ... >> J'ouvris à nouveau les yeux et tirai sur ma cible qui était debout. Je lui touchai l'épaule de plein fouet. Le sang gliclait sur la terre, même sur le mur d'escalade qui étaient juste à côté. Je dégulis à la vue de tout ceci, j'avais horreur du sang. Malgré, Draconnia se releva criant -hurlant même- de douleur. Mon visage se crispa de surprise. Pourquoi s'entêtait-elle !? Quand elle fit plusieurs pas vers ma direction, une ombre apparut en courant et elle assoma ma camarade de classe. Oui, il n'y avait pas de doute, c'était Carcha qui était arriver à temps. Je poussa un très grand soupir et m'écoulai au sol de soulagement. Après l'avoir remercier, nous nous dirigions vers Draconnia, je remarquai qu'elle n'avait plus ses sortes de cicatrices sur le visage. Carcha s'arracha la manche de son habit de sport pour l'utiliser en guise de pansement pour la blessée qui était évanouie. << Elle avait des marques sur son visages ... tout-à-l'heure ... disais-je encore essouflé. - Comment ça ? me demanda t-il avec un air perplexe. - Je te dis qu'elle avait des marques sur son visage et que maintenant, ces " marques " se sont plus là... - Tu as peut-être rêvé, tu sais. - Mais non ! J'en suis sur ! criais-je sur de moi. - Bon, d'accord ! Calme-toi ! >> J'inspirai et j'expirai un bon coup pour calmer mes nerfs. Peu après un briève débat avec mon rival, on décidait tout les deux de finir cette course pour prévenir notre professeur principal et en même temps faire soigner Draconnia. Carcha pris la blessée sur son dos et puis nous partions en nous dépêchant. Je voyais la ligne d'arrivée, enfin ! Nous accélérions sur le dernier terrain remplit de cailloux et de sable, c'était dangereux. Je pris quelques cailloux dans ma main gauche et avec ma main droite, je les lancés au hasarden espérant déclencher des pièges. Droit devant moi, un de mes cailloux tombé et une mine explosa. C'était une très grosse explosion. Mon coeur battit de plus en plus vite. Carcha me faisait signe de tête pour repartir dans notre course. On se remit à courir. En plein milieu du terrain, juste à côté de la mine qui avait explosé, mon pied droit se déposa sur un piège. j'entendis un petit " BIP-IP ! ". Je cru que mon coeur, à ce moment, s'était arrêté. Des piques me transperçaient mon pied et ma jambe. J'hurlais sous la choque. Carcha me regardait d'un air attrofié, il lâcha brustalement Draconnia pour venir à mon secours mais il n'arriva pas à les enlever. Il était tout paniqué, son visage était remplis de peur, de terreur. << Laisse-moi ! criais-je en le regardant droit dans les yeux. - Mais... ! - Si tu gagnes cette course... Les pièges seront désactivés, pas vrai ? Alors, vas-y et prend Draconnia avec toi. >> Il détourna son regard sur mien, il ne voulait pas me laisser seul ici, ça se voyait sur son visage. Malgré ça, il se releva, reprit la fille sur son dos et il s'écria : << Tch... Me donne pas d'ordes ! J'arrive ! >> Ensuite, il partit en courant et il utilisait la même technique que moi pour trouver les pièges cachés. Je le vit au loin atteindre la ligne d'arrivée. Je râlai, je perdais bien trop de sang. << Carcha ... >> Soudainement, j'avais un bien étrange sentiment. Un très mauvais sentiment même. J'entedis des brindilles se cassaient, des bruits de pas. Je ne pouvait pas me retourner complètement. << Merde !! >> Songeais-je prit par une peur bleue. Qu'allait-il m'arriver ? La nuit commençait à tomber, le ciel devenait de plus en plus sombre et le froid se faisait ressentir. Le vent soufflait les branches des arbres de la forêt, deux enfants se trouvaient assis sur le bord la falaise un peu plus loin. L'enfant à la peau métisse tendait sa main dans le vide tout en pleurant, il gémissait le prénom d'une personne. Son camarade à ses côtés, lui avait les yeux larmoyants et évitait de regarder en bas.
<< Allez, viens ... On s'en va ... supplia le garçon qui évitait de regarder la scène plus bas.
- Non ... ! On ne doit pas le laisser là ! C'est de ma faute, en plus ... >>
Bonne Lecture
Dernière édition par Enmaa le Ven 14 Nov - 16:00, édité 29 fois | |
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Je corrigerai plus tard quand j'aurai le temps, tu vois ? 
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