Izuruu Ultimate Hope
Age : 24 Localisation : Dans les Nuages~ Messages : 3731
| Sujet: ~La Resurrezione Della Mafia~ (suite) Ven 14 Nov - 15:57 | |
| Ciaossu
Je posterai la suite de ma fanfiction ici, du fait que je ne peux plus poster la suite sur mon autre topic. Le début de l'histoire se déroule dans un orphelinat, au nord de l'Italie (en Sicile plus précisement), où plusieurs enfants ou adolescents ont été enlevés pour des causes inconnues. Après l'arrivé d'un nouvel élève du nom de Dark Hibari dans la classe 4-1 - qui est une classe spéciale - l'ambiance dans l'orphelinat va changer du tout au tout. A cause d'une suite d'évenements ; certains esprits révolutionnaires vont s'éveiller.
La vérité leur sera bientôt dévoilée...
~La Mafia renaîtra bientôt de ses cendres~
L'univers de Katekyo Hitman Reborn! ne m'appartient pas mais à Akira Amano-sensei Donc les flammes de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel n'ont plus :c. - Classe 4-1:
Classe 4-1 :
/!\ Spoil sur la fanfiction.
Professeur principal : -Monsieur Déo
Elève n° 01 : - ??? Elève n° 02 : - ??? Elève n° 03 : - Carffoure Gui Elève n° 04 : - ??? Elève n° 05 : - ??? Elève n° 06 : - ??? Elève n° 07 : - Hibari Dark Elève n° 08 : - Kitkat Jea Elève n° 09 : - Kheyst Wave Elève n° 10 : - Khiwy Kapo Elève n° 11 : - Kozato Izuruu Elève n° 12 : - Lays Tadashi Elève n° 13 : - ??? Elève n° 14 : - ??? Elève n° 15 : - Ptitlu Draconnia Elève n° 16 : - S Tsukyo Elève n° 17 : - ??? Elève n° 18 : - Shocapik Clo' Elève n° 19 : - ??? Elève n° 20 : - ??? Elève n° 21 : - Tuc Carcha
Légende :
??? : Personne dont l'identité n'a pas encore était révélée dans l'histoire.
Nom Prénom : Personne décédée.
Nom Prénom : Persone portée disparue.
- • Settimo Capitolo:
-Carcha Tuc-
Les rayons du soleil passèrent à travers les rideaux jaunes soulevés par le vent qui était doux ce jour-là. Les rayons de lumière se posèrent sur le visage d'un garçon aux cheveux bruns qui dormait innocemement sur un vieux matelas pourri dans une pièce delabrée. Il se réveilla brusquement à cause de la lumière aveuglante. Il se redressa, appuya son dos contre le mur derrière lui, il jeta un oeil à son reveil qui était sur une commode en piteux état. 6h57. L'enfant soupira. Il n'avait de tout évidence pas bonne mine : cernes sous les yeux, plusieurs égratinures sur le visage, des blessures défensives partout sur les bras, son bras droit dans le platre. Il se leva puis sortit de sa chambre, il avait la tête qui tournait, sa vision se troublait de plus en plus. Il tomba pitoyablement et cracha son sang sur le carrelage fissuré. Dans une pièce d'à côté, une grande personne se tenait debout et sur son visage se dessinait un sourire sadique.
C'était hors de question. Je ne voulais pas le laisser ici tout seul dans cet état qui plus est ! Mais, il trouva les arguments qu'il fallait pour m'obliger à finir cette stupide course. Je me releva, pris la fille que j'avais lâché quelques minutes plutôt sur mon dos et je m'écria :
<< Tch...! Me donne pas d'ordes ! >>
Je le regardai droit dans les yeux d'un air rassurant :
<< T'inquiète, j'arrive tout de suite après ! >>
Il s'efforça de me sourire malgré le fait qu'il devrait souffrir horriblement. Je détournai mon regard du sien tout en serrant ma machoire puis je courrus le plus vite possible en lançant des cailloux à l'occasion déclenchant divers pièges effrayant. Après une minute de course -au moins-, j'y arrivai enfin ! Je distinguai le ruban rouge au loin arrochée à des poteaux par ses extrémités. Je soupirai de soulagement. Tout allait se terminer après avoir franchit la ligne d'arrivée. J'effleurai la ruban écarlate de mon index de ma main gauche quand, soudainement, mon coeur s'arrêta -littéralement- au moment où j'entendis un petit " BI-BIP ". Mon visage se crispa de terreur en comprenant ce qu'il allait arriver dans quelques secondes. Tout mon corps tremblait mais ma voix intérieur me disait, non, m'ordonnait de me ressaisir au plus vite. Qui sait ce qu'il allait m'arriver si proche du but... Sur le coup, je balançai Draconnia à côté d'un arbre non loin de moi. Et ensuite, une étrange " lumière " indigo brillait devant moi, je ne prêta point attention car dans la seconde d'après je me rendis compte qu'un filet qui luissait d'une lumière verte me tomba dessus. << Un filet électrique ?! >> pensais-je appeuré. A la seconde même où le piège me toucha, je ressentis une horrible douleur me traverser puis je ne sentis plus du tout mon corps. Ma vision se troubla. Plus rien. << Merde... >> songeais-je alors que mon corps s'écroula sur la terre sale.
Je repris consicence peu de temps après. (?) Enfin, c'était l'impression que j'avais. Mes yeux s'entrouvrirent doucement. Je voyais encore trouble. Je ne pouvais que distinguer une silhouette féminine qui se tenait juste à mes côtés elle avait de long cheveux avec quelques mèches qui tombaient sur son visage, je vis aussi des arbres autour de nous. Il semblait que je me trouvais toujours dans la forêt qui se trouvait près de l'orphelinat.
<< Ca va ...? >> fit une voix féminine.
Je papillonai des yeux, surpris. Je pouvais la voir de mieux en mieux. C'était une personne que je connaissais, j'en étais sûr. << Draconnia ? Non, je ne pense pas... >> songeais-je tout en fixant la fille. Elle avait les cheveux châtain clairs et les yeux bleus. Je reconnus ma camarade de classe.
<< ... Kap-Kapo ? >> demandais-je d'un voix faible en plissant mes yeux.
Elle me fit signe de la tête pour me répondre positivement. En vérité, je le connaissais pas vraiment, cette fille. Non, personne ne savait qui elle était réelement. Nous savions juste son prénom et son nom. C'était la fille très réservée et timide de la classe. Personne ne la voyait en dehors des cours. D'ailleurs, elle travaillait durement, elle faisait toujours de son mieux. Je m'inquiètais en quelque sorte pour elle. Beaucoup d'entre nous eurent des traumatismes horribles avant de venir ici, alors je me demandais si c'était son cas à elle. Je savais que Tadashi avait essayé de l'approcher et elle l'avait complétement ignoré. Peut-être que cet idiot trop sociable à mon goût lui avait parlé trop brutalement. Un jour, Izuruu était absente et il m'avait demandé un service en m'appelant " Carchounet ". Même Wave avait rigoler de moi... << C'était bizarre comme approche... >> fis-je perdu dans mes souvenirs.
<< Euh ... >> hésita t-elle un moment avant de se lancer dans sa phrase. << Je t'ai trouvé là, étendu par terre, ça fait déjà un bon moment, et comme tu étais pris dans un de ces pièges ...euh... >>
Je lui coupai la parole en la remerciant. Elle se tut, stupéfaite que j'avais réussi à parler correctement. Elle me fixa un moment, perplexe. Alors qu'on se regardait dans les yeux sans savoir quoi se dire, je me rappelai de Draconnia. Allait-elle bien ? Il me semblait que Wave l'avait blessé auparavant.
<< Draconnia... soufflais-je en essayant de me redresser malgré que tout mes membres étaient engourdis.
- Draconnia ? répéta Kapo en levant les yeux au ciel. Elle n'est pas là. Elle n'est pas très sportive, je pense qu'elle est encore à l'arrière. Tu t'inquiètes pour elle ?
- Non, ce n'est pas ça !! >>
Blanc. Elle m'observait avec une tête qui se demandait pourquoi je réagissais comme ça. Je toussai avant de reprendre la parole ; je lui expliquais tout ce qu'il s'était passé avant. Elle mit sa main devant sa bouche, son visage était remplis de terreur quand elle me raconta qu'elle n'avait pas vu ni Wave sur la route ni Draco'. C'était impossible pour mon rival de se déplacer sauf si... Je regardai derrière ma camarade et constatai que la ligne d'arrivée avait disparu !
<< Où est ... la ligne d'arrivée ? J'étais arrivé à la fin... Je devais gagner la course et désactiver les pièges... >>
Mon corps tremblait. Que se passait-il bon sang !? Je posais mes mains sur la tête et mes jambes étaient recroquevillées sur mon corps qui était assis. Je tombai dans la folie, me posant des tas de questions. Il aurait arrivé malheur à Wave et à Draconnia ? Ou bien est-ce Draconnai qui serait réveillée et attaquée Wave pensant que je ne pouvais plus rien faire ? Kapo posa ses mains sur mes épaules et me secoua. Je retrouvai la réalité.
<< Primo, tu as dû halluciner pour la ligne d'arrivée. Comme tu peux le constater, elle n'est pas là, elle doit être plus loin. Secondo, je suis inquiète pour les deux disparus. Comme tu l'as dit, apparement ils ne pouvaient pas se déplacer alors c'est étrange qu'ils aient disparu comme ça ! Terzo, tu te sens mieux ? On devrait se dépêcher. >>
Je la regardai. J'avais repris " du poil de la bête " comme on dit. J'attrapai sa main qu'elle me tendit depuis la fin de sa phrase. Aussitôt, nous partions en arrière à la recherche de mon rival et de mon autre camarade.
On arriva à destination ; à l'endroit où j'avais laissé Wave Kheyst, blessé. Le terrain était pareil, sableux et recouvert de cailloux mais il y avait personne. Je recommençais à paniquer. << Non... je dois préserver mon calme... >> J'inspirai et expirai doucement. J'observai attentivement le parcours : aucun pièges n'étaient activés. Pourtant j'en avais activé 2-3 et il y avait celui où était Wave. Je soupirai. Je devais me rappeler de tout les détails depuis que j'avais abandonné mon ami. Soudainement, je me souvenais de cette lumière indigo, de ce que m'avait dit Wave au sujet de Draconnia quand elle l'avait agressé.
" Je te dis qu'elle avait des marques sur son visage et que maintenant, ces " marques " se sont plus là... "
Cette phrase résonnait dans ma tête. Peut-être que j'aurai dû le prendre au sérieux. << Il y avait des chances pour que Draconnia soit redevue " folle " et ait pris pour cible mon rival. >> Non, quelqu'un manipulait Draconnia, j'en étais persuadé. Tout devevait clair dans ma tête. << Ce cours spécial qu'on a eu il y a une semaine plutôt... Alors cette lumière indigo ça serait... !? >>
<< Carcha... m'appella Kapo, inquiète. Qu'est-ce qu'on fait ? >>
Il fallait les retrouver mais par où commencer ? On n'avait aucune piste sauf cette lumière indigo... Il fallait que je parle de mes soupçons à ma camarade :
<< Je pense que quelqu'un manipule Draconnia pour attaquer nos camarades, je ne sais pas qui et j'ai même aucun suspects mais je sais ce que je dis.
- Comment peux-tu en être sûr à propos de Draconnia ?
- Souviens toi du cours spécial avec Monsieur Déo et l'autre professeur. Tout le monde a passé un test.
- Et donc ?
- J'ai apperçus des Flammes Indigo avant de tomber dans les vappes et Draconnia...>>
Elle me regarda tout d'abord perpexle puis l'instant où elle comprit où je voulais en venir, elle haussa ses sourcils de surprise surement. Elle et moi savaient ce que cela signifiait.
Les rayons du soleil passèrent à travers les rideaux jaunes soulevés par le vent qui était doux ce jour-là. Les rayons de lumière se posèrent sur le visage d'un garçon aux cheveux bruns qui dormait innocemement sur un vieux matelas pourri dans une pièce delabrée. Il se réveilla brusquement à cause de la lumière aveuglante qui l'empêchai de dormir. Il se redressa, appuya son dos contre le mur derrière lui en gémissant des petis cris de douleur, il jeta un oeil à son reveil qui était sur une commode en piteux état. 6h57. Il soupira de plus bel. Il aurait pu pioncer encore deux heures au moins. Après tout, il était très fatiguer. Il n'arrivait plus à trouver le sommeil depuis quelques temps. Surement à cause des tortures qu'on lui infligeait et des médicaments qu'on lui donnait. " Il " voulait le faire parler de son héritage mais l'enfant était très têtu et on lui avait formellement interdit de confier à quelque soit la personne, la cachette du trésor de sa famille. Il se leva de son " lit " puis sortit de chambre, sa tête tournait, il ne sentait vraiment pas bien et puis sa vision se troubla d'un coup. Il s'écroula pitoyablement sur le sol de son logement et cracha son propre sang tandis que son tortureur l'observait avec un sourire sadique.
<< Alors, petit, où est-il ? >>
- • Primo Capitolo Speciale :
Chapitre pas si spécial que ça puisqu'il est assez important pour l'intrigue ! -Kapo Kiwina-
Il faisait nuit depuis un bon moment mais il commençait tout juste à pleuvoir. La terre sèche était devenu boueuse en instant à cause de la violente averse. La tempête frappait violemment les branches des arbres de la grande forêt. A l'interieur, se trouvait une jeune fille qui courrait en zigzaguant à travers le gigantesque labyrinthe feuillu. Derrière elle, des brindiles se cassaient sous le poid de la personne qui la poursuivait. Elle portait un imperméable noir à capuche qui cachait son visage. La poursuivit accèléra la cadence quand elle comprit que son ennemi s'approcher dangereusement d'elle. Alors qu'elle ne regardait pas où elle mettait les pieds, la jeune fille tribucha salissant son unforme beige et sa chemise blanche. Son ennemi se tenait accroupie devant sa proie, la regardant de haut, elle lui souffla quelque chose en souriant. La jeune fille regardait son agresseur avec intensité, plissant ses yeux et serrant sa machoire. La personne dont le visage était cachée sortit de la poche de son manteau sombre une seringue remplit d'un liquipe étrange, jeta un dernier regard à sa victime et piqua son l'avant bras en fermant ses yeux. Les douzes de minuit retenrient non loin dans une ville.
Je me réveillai brusquement, dans ma chambre de l'orphelinat, toute en sueur. Je croyais bien avoir fait un horrible cauchemar. C'était encore flou dans ma tête. Je me souvenais juste d'une horrible douleur à la tête qui était toujours présente, d'ailleurs. Mon réveil indiquait 7h14. Si, je traînais encore longtemps, j'allais finir par arriver en retard en cours. Je sortis de ma couette pour partir me laver puis enfin m'habiller. J'utilisais la salle de bain qui était relié à ma chambre pour me préparer. Après ça, j'enfillai le haut sans manche beige de mon uniforme, sur ce dernier il était inscrit la lettre " F " pour " Orphelinat Fiamma ". Enfin, je m'éclipsai de ma chambre en vitesse car il était 7h39.
Je retrouvai une partie de ma classe à la cantine. Ils dégustèrent tous leur petit-déjeuner entre amis comme à leurs habitudes. Je me dirigeai vers le comptoir pour prendre un plateau avec mon lait chocolaté et quelques tartines de confiture. J'allais me poser comme à mon habitude à une table à part pour manger tranquillement. A vrai dire, j'avais une classe de dégénérers. Vraiment, ils étaient tous fous en plus avec le nouveau qui est arrivé hier, ce la n'arrangeait pas vraiment les choses. Malgré leurs folies et bizarreries, ils étaient vraiment drôles. je sourirai rien qu'à cette pensée. Je revoyais Tsukyo et Jea parler de choses vraiment " bizarres ", Wave et Carcha débattre sur une chose complétement inutile pour savoir qui avait raison... C'est alors que Tadashi me sorta de mes plus profonds songes en criant :
<< EH OH ! KAPOUUUU !! COUCOUUU ! TU VIENS MANGER AVEC IZU' ET MOI !!? ALLEZ ! ON VA PAS TE MANGER, TU SAIS ! Quoique ... >>
Je pris peur. J'avais bien entendu mon nom ? Je ne savais pas vraiment. C'était plutôt gênant, tout les quatrièmes années nous fixèrent intensemment en attendant une réponse. Je me rendis le plus loin possible de Tadashi.
<< Quand je disais qu'ils étaient vraiment fous... >> soupirais-je.
Alors que je m'asseyai dans mon coin, tout le monde cria : " Ouuuuuuuuuh " à l'unissons et le blond était vraiment très gêné. Ca se voyait sur son visage et à ses joues écarlates. Ensuite, il fit comme si de rien en discutant et mangeant avec sa soeur. Je soupirai de soulagement. On allait enfin me laisser tranquille. Du moins, cette tranquillité ne dura à peine deux minutes. Jea, la sous-chef du Comité vint me voir avec un air sérieux. Elle me raconta que je devais arrêter de sècher les cours. << Moi ? Sècher les cours ? >> Je riai à cette pensée. Je lui demandai pourquoi m'ordonnai ça, elle me répondit que cela faisait cinq jours que je n'allais plus en cours. C'était étrange. Je me souvenais parfaitemant qu'hier nous avions acceuillis un nouvel élève au nom de Dark Hibari. La haut gradé me regarda étrangement et m'assura que cela faisait trois semaines - plus au moins - que Dark était arrivé dans l'orphelinat. Je n'y croyais tout simplement pas. Elle sortit de son sac le cahier d'appel de la 4-1 qui me prouva ses dires. Je haussai mes sourcils, choquée. J'avais un trou de mémoire plus aucun souvenirs me revenait à part le fait que Dark était arrivé hier. Non rien d'autre. Jea partit perplexe pensant sans doute que j'étais devenue folle. C'était normal après tout.
Je me dirigeai vers le couloir B où se trouvait notre salle de classe et nos casiers. La plupart de mes camarades de classe me demandèrent, curieux, ce que je faisais pendant ces cinq derniers jours. Je leur disais tout simplement que je me sentais vraiment pas bien à cause du stress des examens qui avait lieu le mois prochain. Je soupirai de soulagement ; ils m'avaient tous cru, naïfs.
<< Qu'est-ce que je faisais pendant ces derniers jours ? >> C'est ce que je n'arrêtai pas de me demander pendant le cours de mathématiques pendant que le professeur expliquait à Izuruu l'exercice de numérique. Je fouillai mon sac à la recherche de mon cahier de brouillon, en vain. Dedans, je notais toujours mes recherches que je faisais à la bibliothèque. << La Bibliothèque ? Mais oui ! C'est ça ! >> J'y allais toujours, auparavant. Je faisais toutes sortes de recherches ou bien je lisais des romans policers, ce genre de choses. La sonnerie qui annoçait la fin du cours sonna. Nous devions avoir cours de Science mais il fut annulé car le professeur avait dû s'absenter pour préparer un cours spécial à 10h15. J'en profitai pour me faufiller dans le couloir C où se trouvait la vaste bibliothèque de l'orphelinat. L'homme à l'entrée me salua gentillment, je fis de même. Ensuite, je me dirigeai vers les ordinateurs, je m'assayai devant l'un d'entre eux puis je me connectai à ma session. Je fouillai mes fichers. J'avais l'habitude d'écrire des histoires comme ça quand j'en avais l'envie. Il n'y en avait aucun. Plus rien. Quelqu'un était derrière tout ça ou aurais-je tout affacé de moi-même ? Non, c'était improbable. Cette personne, elle avait la possiblité de se rendre sur mon compte. Elle m'aurait effacé une partie de mes souvenirs et en plus il aurait supprimé mes fichiers et prit mon cahier ? Qu'avais-je noté dedans ? Non. Plutôt, qu'est-ce que j'avais fait pendant tout ce mois ?! Il fallait que je fasse des recherches. Si, je me connaissais bien, je devais tout le temps traîner ici et lire des livres. J'eus une idée. J'éteignis l'appareil électronique et vins voir la vieille femme. Elle était -tout comme moi- passionée de romans, comme on discutait souvent, elle devait savoir quel livre je lisais en ce moment.
<< Madame Moussline ? commeçais-je timidement. >>
Elle me jeta un regard interrogatif pour me demander : " Qui a t-il ? ".
<< En fait... J'ai complétement oublié le titre du livre que je lisais en ce moment ... Vous ne le saurez pas, par hasard ? >>
Elle réflèchissa un moment totalement plongée dans ses pensées.
<< Oui, fit-elle avec une voix cassée, c'était " Misery " de Stephen King. >>
Je la remerciai puis partit vers le rayon des romans. J'avais beau à chercher, je ne le trouvais pas. Je l'aurai emprunté ? Non, je ne pense pas. Je n'empruntais que très rarement vu que je passais tout mon temps libre à être ici. C'est alors que je vis un élève de ma classe qui le lisait à une table plus loin. Je soupirai. Il fallait que je le récupère. Je pris dans ma main gauche le premier roman que j'apperçus : " Le combat d'hiver ". Ainsi, je m'approchais de lui l'air de rien. Je ne savais pas du tout comment l'aborder, je n'avais pas du tout l'habitude.
<< Euh ... >> hésitais-je.
Il me regarda, perplexe, je le fixai aussi le visage appeurée.
<< En fait, Gui, j'ai absolument besoin de ton livre ! >>
Sans réponse. Il réflèchissais surement mais de quoi ? Il ferma soudainement le bouquin et baissa sa tête. Son visage était sombre, il marmonnait quelque chose d'imcompréhensible.
<< Hein ?
- Ils t'ont eu, alors... >>
Je plissai des yeux. Je ne comprenais pas ce qu'il avait dit à l'instant.
<< Je vois. C'est pas si grave. soupira t-il.
- Mais ... ! Que se passe t-il ? Gui !
- Shhht ! fit la vieille dame.
- Par-Pardon... m'excusais-je en baissant d'un ton. >>
Gui poussa son livre jusqu'à moi puis il se releva et s'apprêtait à partir quand je l'interpellai en l'appellant de son prénom. Il se retourna vers moi avec un faux sourire.
<< Je t'expliquerai plus tard. Pour l'instant regarde attentivement ce livre. A toute', Kapo. >>
Je le regardai s'en aller sans dire un mot, plongée dans mes pensées. J'ouvris la première page de " Misery ", il m'avait dit de le regarder attentivement. Je le lus pages par pages sans rien ne " voir ". Je soupirai une nouvelle fois. Le bouquin glissa de mes mains et tomba par terre abîmant les pages. Je le ramassai par le dos du livre et je fis tomber un carré de feuille jaune, je le pris également, intriguée. Il y était inscrit : " R-BD E-3 M.M T-3 " J'ouvris grand mes yeux ne comprenant scritement rien. Mais, il fallait que je réfléchisse, il fallait que je trouve ce que cela signifiait. << Hum... " R-BD " Peut-être cela fait référence au rayon des BD ? Mais j'y vais jamais... Par contre, je vois souvent Gui y aller... >> Je me rendis donc vers le rayon en question. << E-3 ... L'étage 3 ? >> Je jetai un coup d'oeil mais rien qui ne se rapportait à " M.M ". << La troisième étagère alors... >> Je trouvai plusieurs bandes dessinées en M. Deux tomes de " MéMé " m'intigruait. L'un était abîmé et l'autre flambant neuf. Je pris le vieux tome, c'était le troisième tome. Je pris de mes deux mains les extrémités de la couverture et la dernière de couverture et je le secouai espèrant faire tomber quelque chose. Gagné ! Je le ramassai, c'était un morceaux de plastique contenant une carte mémoire et un bout de papier.
DRIIIIIIING~ !
Je poussai un énième soupire. Je rangeai la BD à sa place et ce que j'avais trouvé dedans dans la poche de mon uniforme beige. Je pris " Mizery ", je me dirigeai vers son emplacement dans la blibliothèque. Quand je regardai vers l'emplacement vide du livre, je sursautai à la vue de ma camarade de classe qui me fixai de l'autre côté de l'étagère.
<< J-Jea !? m'écriais-je sur le coup de la peur. Tu m'as fait peur, tu sais... Plus jamais ça ! >>
Elle me fixa encore sans expression. Ca me faisait très peur. Elle baissa le regard puis partit vers la sortie.
<< Les cours vont commencés, tu n'as rien faire ici ni dans cet orphelinat, d'ailleurs. M'enfin. >>
C'était dit si froidement que j'en frissonais. Puis, je partis en direction de la classe de la 4-1 en pensant à ce qu'elel avait dit. << Jea... >> Quelque chose. Oui, quelque chose me revenait en mémoire... C'était si flou...
La nuit était tombée depuis un bon moment déjà mais il commençait tout juste à pleuvoir. La terre sèche était devenue boueuse en instant à cause de la violente averse. La tempête frappait violemment les branches des arbres de la grande forêt. Une fille de l'orphelinat d'à côté courrait à en perdre haleine à travers ce gigantesque labyrinthe feuillu. Une autre personne la suivait à la trace tout en courrant, également. Une bonne partie de son visage fut caché par la capuche de son imperméable noir et elle tenait dans sa main droite un objet brillant d'une lumière jaune aveuglante. Quand, la poursuivit vit l'éclat de lumière s'approchait, elle s'écria :
<< Et Mer-Mince ! Il va finir par ma rattraper... >>
Alors qu'elle ne regardait pas où elle mettait les pieds, la jeune fille tribucha salissant son unforme scolaire crème. Son ennemi s'accroupia devant sa proie, la regardant de haut, il lui souffla en souriant :
<< Ne t'en fais pas. Nous n'allons pas te tuer, tu vas simplement tout oublier ce que tu sais sur lui et moi. >>
La jeune fille regardait son agresseur avec intensité, plissant ses yeux et serrant sa machoire. Elle avait reconnu cette voix. La personne dont le visage était cachée sortit de la poche de son manteau sombre une seringue remplit d'un liquipe étrange, jeta un dernier regard à sa victime et piqua son l'avant bras en fermant ses yeux. Les douzes de minuit retenrient au loin dans la ville voisine au nom de CittàLuce...
- • Secondo Capitolo Speciale:
-Gui Carffoure- << Eh ! Tu es au courant pour la classe 4-1 ? ? demanda tout bas une voix féminine.
- Non ! Qu'est-ce qu'il y a ? répondit une voix masculine.
- Un de leurs élèves va se faire emprisoner dans les plus pronfonds cachots de cet établissement !
- Pourquoi ?
- Apparemment... Il a vu quelque chose qu'il n'aurai jamais dû voir... >>
Il marchait. Un jeune adolescent marchait le long d'un gigantesque couloir obscure éclairé par quelques torches enflammées. Il était entouré d'hommes musclés en costard qui le menaçaient d'armes de tout genre : des pistolets à gros calibre, divers armes blanches... pour éviter qu'il ne tente de s'échapper. Il serra sa machoire et son poing quand un de ses escorteurs qui marchait devant lui s'arrêta devant une cellule. Un autre ouvrit avec une clée rouillée la grille qui servait d'entrée, ensuite, il ordonna au garçon d'y entrer. Son visage se remplissait de crainte. Il ne le voulait pas. C'est alors, que l'un des nombreux hommes poussa le prisonnier dans la cellule. Il tomba sur ses deux genoux comme pour prier sauf qu'il avait les poignets liés derrière son dos. Il regarda avec intensité le plafond de sa chambre, puis il baissa le regard et prononça quelques mots...<< C'est pas vrai ... >> Soufflai-je à moi-même alors que je traversai le long couloir qui menait à ma salle de cours. Tous mes camarades de classe, sauf Kapou et Jea qui n'étaient pas encore arrivées, attendaient bruyament que nos professeurs arrivent. J'étais appuyé contre le mur, pensif. Je songeais à ce qu'il était arrivé à Kapou. Serais-ce le directeur qui aurait ordonné ça quand il a compris que c'était ma camarade qui avait piraté le système de l'orphelinat ? Ce n'était pas dans ses méthodes pourtant... Ou serais-ce quelqu'un d'autre qui aurait fait oublié une partie de ses souvenirs ? C'était une hypothèse à ne pas écarter. Mais alors qui ? Kapou m'avait affirmé que quelqu'un d'autre qu'elle avait craqué le système pour récolter des informations personnelles sur la totalité des classes de cet établissement. Deux de mes camarades me sortirent de mes plus profondes pensées. C'était Carcha et Wave qui débattaient sur un sujet qui n'avait rien à voir avec le cours qui nous allons avoir. Je soupirai désespéremment. << Ces deux-là ne changeront jamais. >> C'est alors que Jea, la sous-chef du comité et déléguée de la classe arriva vers Tsukyo suivit de Kapou qui se mit à l'écart de nous. Je la fixai discrétement. J'espèrais qu'elle avait trouvé la carte mémoire et le mémo qui allait avec. Je me rappelai des recherches que je faisais avec ma camarade il y a encore quelques jours... On a commencé à se parler d'un livre qui parlait d'enfants et d'adolescents enfermés dans un orphelinat et ils voulaient à tout prix s'en échapper. Et la question qu'on s'est posé est venue comme ça, naturellement : << Que fait-on ici ? >> Certains d'entre nous avaient encore des parents quand ils ont attéris ici. Alors, pourquoi ? Dans quel but ? C'est ainsi qu'on a cherché des réponses à nos questions. Ces recherches nous on permit de répondre à une de nos question : Nous étions dans cet établissement car de la famille à nous avait des liens avec une organisation qui aujourd'hui n'existe plus. Kapou et moi avions émis des hypothèses farfelus sur cette découverte. Rien de très important. La deuxième sonnerie retentissait me sortant de mes songes et au même moment, nos professeurs arrivèrent. Monsieur Déo, notre professeur d'entraînement et aussi principal, un jeune homme âgé de la vingtaine d'année ainsi que son collègue, Docteur Reshini, apparement c'est un célèbre scientifique renommé dans toute l'Italie, il avait la trentaine et des lunettes qui tombait sur le bout de son nez. Hilarant... Ils nous firent tous entrer en classe. Je fus surpris quand je vis tous les matériaux préparés sur les tables. Il y avait une pierre sur chacuns des bureaux. Je restai perplexe devant ma table. << Qu'est-ce qu'on peut bien faire avec ceci ? >> Songeais-je en prenant la grosse pierre de mes deux mains à cause de son poid. << Reposez ce que vous avez dans vos mains, ordonna calmement le scientifique. Nous allons tout vous expliquer. >> Tout le monde -dont moi- posa doucement les roches sur leurs bureaux attendant les réponses à leurs questions. << Comme vous le savez, je suis le Docteur Reshini, reprena l'homme aux lunettes, j'étudie toutes sortes de choses depuis ma carrière. Aujourd'hui, nous allons faire une experience très difficile que peu d'élèves (je pense) vont réussir à faire. - Et après celle-ci, si une majorité on réussit, je raconterai une histoire~, ajouta notre professeur principal. >> Nous tous acquiescèrent et attendirent les consignes du plus agé. Il nous demanda de prendre la grosse pierre de nos deux mains et de se concentrer pronfondemment sur quelque chose que nous voulions faire plus que tout. Ce n'était pas très clair... Peu de personne ne comprenait ce qu'il voulait dire. << Qu'est-ce qu'y va se passer si je réussis...? >> pensais-je en essayant de me concentrer. Pendant ce temps-là, les enseignants discutèrent en chuchotant. Voulaient-ils qu'on ne se déconcentre pas ou bien nous cachent-ils quelque chose ? Soudainement, une lumière orangée et aveuglante brillait à ma droite ! C'était la pierre de Tsukyo qui la produisait ! Tout le monde le regarda surpris de ce qu'il se passait. << Que... C'est quoi ça ? C'est trop beau ! >> s'exclama le coupable. Il avait raison c'était si magnifique cette couleur orangée qui illuminait toute la pièce... La lumière faiblissait de plus en plus et Tsukyo était essouflé. Faire quelque chose comme ça l'avait mis à bout de force. J'étais curieux de savoir comment mon camarade avait fait une telle chose, alors je lui demandai en m'approchant de lui : << Eh ! Mec ! Comment tu as fait ? Les consignes du prof' n'étaient pas très clair pourtant... >> Il inspira puis expira bruyamment avant de me répondre : << L'idée de sortir d'ici et de connaître mes parents m'a traversé l'esprit et... voilà ! >> Il avait le sourire aux lèvres rien qu'en prononçant le mot " parents ". Je restai perplexe devant ses expliquations. Comment produire une telle étincelle à travers une pierre en pensant au fait de rencontrer ses parents ? Je ne voyais pas le rapport... << Il a réussi le test seulement car il pense que son rêve peut se réaliser. C'est avoir de la volonté, tu ne crois pas, Gui' ? >> Je sursautai. Monsieur Déo avait deviné mes pensées ? << Avoir de la volonté ? >> Je retournai à ma place, repris la roche dans mes mains, je fermis mes yeux puis j'oubliais les personnes qu'il y avait tout autour de moi. << Ce que je souhaite...? Qu'est-ce que je veux vraiment ? >> J'inspirai pronfondemment et j'ouvris brusquement mes yeux et je voyais la pierre briller d'une lumière bleuette. C'était si apaisant. Mes compagnons me fixèrent tous avec admiration et envie comme ils avaient fait pour mon camarade juste avant. Les rayons bleus s'affaiblirent pour finir par disparaître complétement. Je tombai sur mes genoux par manque de force et d'oxygène. Le jeune professeur m'aida à m'assoir sur la chaise de mon bureau. Je repris mon souffle puis le je le remerciai. << M'sieuuur ! s'écria Izuruu avec la voix d'une gamine. Pourquoi la lumière de Guigui' et de Tsu' n'était pas pareille ? >> L'enseignant soupira et remit ses lunettes correctement. << Je vais vous expliquer... Chaque être humain possède en lui des ondes qui parcourent tout son corps très rapidement. En se servant des roches transparentes que vous tenez, des flammes peuvent s'illuminer de l'intérieur si vous avez de la résolution. Ces flammes sont une puissante énergie qui remplaceront prochainement l'essence, l'électricité... Ce n'est qu'un projet, bien évidemment. Vu que c'est une énergeie produite par l'Homme et donc elle est limitée. >> Je fixais le scientifique avec admiration. Cela dépassait tout ce que j'imaginais ! En effet cette nouvelle énergie pourrait ressourdre beaucoup de problèmes ! Izuruu soupira bruyamment et me sortit de mes songes. << Ca ne réponds pas à ma question... >> Reshini allait s'énerver contre l'insolente mais son collège le calma avec une tape amicale sur le dos et prit la parole : << Ces flammes sont appelés " Flammes de Dernière Volonté " car elles apparaîssent quand nous avons de la résolution à l'aide de pierres spécifiques comme l'a dit le professeur Reshini, à l'instant. Il existe sept types d'ondes donc il y a sept flammes diffèrentes. Un humain peut en possèder une, deux ou encore trois , voir même plus. >> Il alluma le rétro-projecteur et ce dernier illuminait le tableau blanc devant nous. Une image était apparue, au centre de l'illustration se trouvait une flamme orange sur une photographie du ciel, vers la gauche, des flammes rouge, jaune et verte supperposées sur des photos diffèrentes, pareil pour l'autre côté sauf que les flammes étaient de couleur bleu, mauve et indigo. Il continua son expliquation. Il expliqua qu'elles étaient classées selon leur couleur et que chacunes avaient un nom spécial. Par exemple, de couleur écarlate : la flamme de la tempête, de couleur jaune : flamme du soleil, pour la couleur bleue : flamme de la pluie, pour la couleur verte : flamme de l'orage, ainsi de suite... Les autres regardaient le tableau, perplexes, pas sûr de tout comprendre. Je réfléchissais. Ma pierre s'était illuminée d'une lumière bleue... donc ma flamme était de type Pluie. Celle de Tsukyo était orange donc sa flamme était du type Ciel, comme par hasard c'était celle qui était la plus rare, une minorité de personnes dans le monde l'avait. Après avoir finit leur expliquation, les deux professeurs nous laissèrent la journée pour apprendre de nous-même à faire briller les roches sauf pour Tsukyo et moi. le Dr.Reshini nous donna, à nous deux, une bague avec une pierre transparente incrustée à l'interieur. La sonnerie qui annonçait la fin du cours et le début de la pause rententit. Nous tous, élèves de la 4-1, sortirent de la salle de classe en ayant tous -Tsukyo et moi non-inclus- leur pierre entre leurs mains. Alors que je fixais l'anneau, une fille de ma classe me bouscula sans le vouloir. C'était Clo', elle me demanda de l'excuser et partit en courant tout en rangeant sa roche dans son sac. Draconnia et moi nous la fixions, incrédules. << Eh ! Tu es au courant pour la classe 4-1 ? ? demanda tout bas une voix féminine.
- Non ! Qu'est-ce qu'il y a ? répondit une voix masculine.
- Un de leurs élèves va se faire emprissoner dans les plus pronfonds cachots de cet établissement !
- Pourquoi ?
- Apparemment... Il a vu quelque chose qu'il n'aurai jamais dû voir.
- Comment ça !?
- Ils disent que c'est l'un des secrets de cet orphelinat... >>
Il avançait tout en trainant ses pieds comme si il voulait gagner du temps. Un jeune adolescent marchait la tête baissée le long du couloir obscure éclairé par des torches enflammées accrochées sur les murs de pierres. Ce dernier était entourné d'hommes musclés en costard qui le menaçaient d'armes de tout genre : des pistolets à gros calibre, divers armes blanches... pour éviter qu'il ne tente de s'échapper de ce qu'il l'attend. Le prisonnier serra ses dents et son poing jusqu'à ce que sa main se met à saigner, ils étaient arrivés devant sa cellule. Celle où il allait logé, celle où il allait être coupé du "monde" et cela pendant des semaines. L'un des gardes ouvrit la porte rouilléé qui grinçait, le regard du garçon était remplit de crainte, de peur. Il ne voulait pas. L'homme au crâne rasé derrière lui le poussa dans sa nouvelle chambre, il tomba pitoyablement sur le sol sur ses genoux, ses mains toujours liées dans son dos. Il jeta un regard sur le plafond avec désespoir et lut ce qu'il était inscrit dessus, il baissa ensuite sa tête et soupira :
<< Le prix de la liberté, hein ? >>
Il rampa jusqu'à son matelat en piteux état qui lui servait de lit.
<< Ils veulent que je garde le secret et pour ça ils sont prêts à m'enfermer jusqu'à ce que je sois décidé...>> Il s'arrêta un moment, pensif. << Un jour, je sortirai d'ici qu'ils le veulent ou non... car je hais cet endroit. >>-Encore un dernier et on arrête les chapitres flash-back ! -
Un commentaire : ça fait toujours plaisir les gens !
Dernière édition par Enmaa le Mar 16 Déc - 11:08, édité 6 fois | |
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