[Fanfiction] Magnifiques meurtres.

Cette fanfiction est une histoire, style polar, je vous laisse déguster la toute première histoire que j'ai écrite & de type polar.

Prologue et chapitre premier.

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L'histoire se déroule dans un quartier comme les autres. Les habitants de ce dernier étaient plutôt tranquille dans ce quartier, fiers de pavillons qui leur avaient coûtés une petite fortune. Mais, un terrible jour arriva, le jour où tout a basculé, le jour où les gens du quartiers ont été choqués et engendra plus de trois quarts des déménagements, néanmoins, quelques habitants restèrent, mais quel est l'intérêt de rester ici, la réponse est de savoir ce qui s'est vraiment passé.

Nous sommes le 1er Juillet 1954 aux États-Unis D'Amérique, quand trois personnes s'intéressent de plus près à ce mystère du quartier, qui n'a pourtant pas fait beaucoup de bruit en ville. À la première vue de ce mystère, qui est qu'un cadavre ensanglanté, du moins à la première vue bien sûr, ressemble à un grand homme brun foncé de environ 1m80 avec les yeux bleus. Toutefois, nous ne savons rien de nos trois protagonistes, d'abord un flic détective avec son chapeau porte-bonheur rouge-noir, le détective Shieloscki, mon ami, puis vient la femme de l'équipe de choc, Mlle Plastini, médecin, enfin le dernier et le plus costaud de tous, Mr. Robin qui est depuis 13 ans dans l'entraînement musculaire et le sport intensif, prof de sport à une université. Après avoir présenté nos différents protagonistes, il faut savoir que cette enquête est vraiment bizarre. Mais voyons ce qu'il s'est passé avant.



C'était une journée agréable du mois de Juin où le quartier vivait en paix et harmonie, où les oiseaux chantent de bon matin, où les voisins sont gais, où les pavillons sont de plus beaux, mais où les meurtres y sont presque impossibles et les cris y sont inhabituels... c'était le cri d'un homme, voix assez grave provenant d'une riche maison du coin de la rue, les autorités ont été appelés sur le champ mais après les investigations des flics que arrive le petit groupe des trois, «Bonjour madame et messieurs, que faites-vous ici ?» demanda le policier curieux, Shieloscki (le détective) dit avoir été appelé par ses collègues pour résoudre le soi-disant meurtre du richissime Mr. Don et que les deux 'autres' étaient avec lui, le policier les laissa passer. En pénétrant dans la maison qui paraissait un peu lugubre, ils aperçurent le cadavre du petit riche, étalé à terre ensanglanté, trempant dans un bain de sang encore plus rouge qu'une pomme bien mûre, autour du mort, deux flics inspectant la zone, mais quand les deux poulets aperçurent les 3 trois, ils leurs laissèrent la place. À leur tour, Shieloscki, Mlle Plastini et Mr. Robin commencèrent leurs recherches chacun de leur côté :
Shieloscki trouva une seringue, susceptible de contenir des substances illicites, Mlle Plastini trouva le bout de son nez alors que Mr. Robin une carte envoyée de Boston, par sa ancienne fiancée veuve, qui dit :
«  14 Rue du Iolon, Boston. Coucou toi, je réserve de mon temps pour d'écrire cette lettre avec laquelle je place l'argent de mon timbre et l'amour avec laquelle je l'ai faite, mais il faut toujours que tu nous payes la nuit lorsqu'on t'as hébergé car de, soi-disant « mauvaises choses se passaient dans ta maison luxuriante » et aussi la pizza que tu as jamais remboursé. Ça fait encore 240$ que tu nous dois. Meilleure amitié et joie pour toi. Bonne journée ou soirée. Jeanne. ».
Ça à l'air d'un règlement de compte, exclama Shieloscki, voyant Mr. Robin étant en accord avec son affirmation, mais Mlle Plastini n'étant pas d'accord, pensa plutôt que ce serai qu'un suicide. Problème d'amour ? Sûrement, mais d'argent ? Du tout, répliqua Shieloscki. Mais Shieloscki a lui trouvé une seringue, vide malheureusement, mais pouvant bien transporter assez de matière illégale pour envoyer des gens au Paradis. Et si Mr. Don ne vivait pas seul, demanda Mlle Plastini alors peut-être que la femme serai veuve à partir de là, et qu'elle l'aurait tué pour toucher l'argent... Shieloscki félicita Mlle Plastini pour avoir autant avoir réfléchis. Et bien donc partons pour la maison de cette femme, de toute façon, meurtrière ou pas meurtrière, elle a sûrement des informations sur cet homme, dit Shieloscki. C'est sur ce ton déterminé pour trouver le meurtrier que l'équipe de choc quitta la maison pour aller vers Boston, où l'attendait cette femme mystérieuse.

Tu devrais continuer, j'aime bien ! Y'a deux trois fautes ("pensa plutôt que ce serai qu'un suicide" ou "sa ancienne" par exemple) mais bon ce n'est qu'un détail ça reste facile à lire quand même, à quand la suite ? ^^